Château attaqué !!

Plusieurs semaines après sa première quête un événement attira son attention. Elle vit au centre du village un attroupement de presque tout le village et écouta attentivement...
Le chevalier cabossé continuait de crier des informations : comment tuer les morts, les goules, les guerriers squelettes et d'autres monstres. Mais Lylyth ne fit pas attention à tout se qu'il citait.

Le chevalier : -.... Alors je préviens, les femmes et les enfants resteront ici au village. Tout les hommes forts vienne avec moi, vous prendrez des armes.... etc. ...

La marré humaine s'amenuisait, seul les plus courageux restait, Lylyth cru entre voir Sêpsis plus loin mais elle pensa que se n'était que son imagination. Entre les gens qui restait, pour la majorité des hommes, Lylyth s'y faufila. Elle se planta devant le chevalier frappant avec force bruit le sol de son sceptre.
Le chevalier s'interrompit dans son discours et fixa Lylyth, il la regarda d'un mauvais oeil.

Le chevalier : - J'ais dis... les femmes reste ici... et qui plus est vous êtes une ange-noire damoiselle...

Lylyth ne dit rien, comment cet homme avait-il su alors que ses ailes n’étaient pas au grand jour. De plus, se qui irrita Lylyth, il avait un ton méchant et mauvais.
Soudainement dans deux petit jets de sang les ailes noires de Lylyth sortirent de son dos, elle eu très mal mais n'afficha rien, la foule avait reculer et le cercle s'était agrandit.

- Bravo seigneur... je vois que vous êtes expert... Mais pardonner moi mon impudence, je sais me battre et je veux me battre !

Elle refrappa le sol de son sceptre. Le chevalier à l'armure cabossé mis pied à terre, il s'approcha de Lylyth et lui donna une gifle si puissante qu'elle en tomba par terre. Sêpsis dans la foule regardait la scène avec intérêt, Lylyth ne se releva pas, elle saignait abondamment du nez mais il n'était pas cassé.
Le chevalier dégaina son épée et la leva prêt à l'abattre, il avait le salle intention de couper le bras atrophier de la jeune fille, mais avant d'abattre son épée Sêpsis était sortit de la foule et avait prit le poignet du chevalier. Le chevalier sans mot dire fixa Sêpsis, certainement qu'il pensa que se mesurer à lui était pur folie, il dégagea son bras d'un geste agacer et r’enfourcha son cheval.
Lylyth releva la tête elle fut très étonné de voir Sêpsis, il lui tendait une main qu'elle accepta.
Une fois relever elle lui sourit tendrement malgré le sang coulant sur son cou allant sur son décolleté. Sêpsis malgré lui suivit le sang coulant des yeux mais les releva bien vite.

Sêpsis : - Ca ira ?

- Oui... enfin j'ai bien cru qu'il m'avait cassé le nez... Quel violent personnage !

Lylyth semblait très irrité. Elle ramassa son sceptre qu'elle avait lâché quand elle était tombée. Ils s'éloignèrent de la foule et s'assirent sur un rebord de fontaine, assit Lylyth leva sa paume de main vers le ciel et se concentra.
Une petite boule de magie de couleur bleu pale se forma au dessus de sa main, puis Lylyth tendit le bras vers l'avant. Son visage fut illuminé et quand la lumière disparut et son nez avait cessé de saigner.

- Voila, ce sera mieux ainsi.

Sêpsis : - Pourquoi à tu fait ça ? A quoi cela te serait servit ?

- Je ne sais pas... j'avais envie de me battre... j'avais envie de prouver qu'une femme pouvait se battre.

Sêpsis : - ... Oui mais tu aurait pu y aller plus doucement, tu à bien vue se qu'il ta fait. De plus il a faillit te faire encore plus de mal, si je n'avais pas été là je demande bien qui t'aurait aidé !

Lylyth ne dit, rien, Sêpsis lui faisait peut être la morale mais il avait entièrement raison. Puis dans un silence calme, un homme revêtu d'une cape s'approcha négligemment d'eux. Silencieusement il se posta juste entre eux sans qu'ils ne le remarquent.

L'homme à la cape : - Comme on se retrouve... Mademoiselle mes hommages...

Lylyth et Sêpsis sursautèrent, Vlad passa entre et eux et se mit en face, il s'inclina un peut.

Sêpsis : - Ho Vlad ? T'es la pour le château ?

Vlad : - Exactement ! Ca fait un moment que j'ai envie de poutrer des goules !

Le dénommé Vlad eu un sourire carnassier, Sêpsis sourit aussi, mais Lylyth était perdu. Elle se leva.

- Quoi ?! Vous... vous connaissez ?

Vlad : - Ho... tu ne lui à pas dit ? Excusez moi damoiselle, je suis le Vagabond du sable maudit... A vos services !

Vlad s'inclina une nouvelle fois, Sêpsis se sentait un peut agacé. (Deviendrait-il jaloux ? )

Sêpsis : - Vlad, voici une... amie de quête Lylyth...Vlad à fait une quête avec moi il y à un moment... hem ! Bon présentations faites allons suivre le groupe, sinon va rater les meilleurs morceaux !

Vlad : - Je te suis ! Je suis prêt.

Lylyth levant les yeux au ciel : - Très bien allons-y !

Puis le petit groupe alla suivre la troupe qui c'était formé avec le chevalier cabossé...

[Si y’a des erreur dans se que j'ai mis faite moi savoir et je rectifie =) ]

Dans la troupe il y avait plusieurs créatures. Mais il y avait que des mâles seul Lylyth était une femme. A un moment le vagabond vu une silhouette qu'il avait déjà vu.

" Excuser-moi je dois faire quelque chose "

" Mais ou va t-il "

Le vagabond pris le bras de la personne.

" Hé vous!! "

" Tiens tiens le vagabond du sable maudit, tu va au château "

" Oui je m'ennuyait depuis les indigènes! "

Sêpsis et Lylyth arrivèrent.

" Excuse moi vagabond mais tu connais cette humain ?? " demanda Sêpsis

" Oui il s'appelle Farmer, on a fait une quête ensemble "

" Et peut t-on savoir laquelle?? " demanda Lylyth

" Vous avez eu vent de la quête la flamme verte ??"

" Heu non " répondu Sêpsis

" Bon pas grave continuons notre route "

La troupe de soldat était assez grande. Il y avait des hommes, des elfes quelques nains et autre. Le voyage fut long très long. Pendant le trajet nos quatre héros se racontai leurs quête passé. Une nuit des mercenaires prirent pars au voyage pour se battre au château. Les habitants des autre royaume se demandait quelle était cette attroupement de guerrier. Arrivé dans une ville pendant la nuit. Le chevalier qui était chargé d'aller quérir des guerrier leur avait dit qu'il passerait la nuit ici. Nos quatre héros allèrent a l'auberge

La nuit était arrivée très rapidement. Les soldats qui avaient accompagné le cavalier dormirent dans un camp non loin du village, en respect envers leur apprentissage militaire. Mais même la plus grande part des combattants qui partaient aux combat dormirent dehors. C'était bien pour faire plaisir à Lylyth que Sêpsis accepta de ne pas dormir dehors, loin de tout humain.

Le groupe se dirigea vers la taverne la plus proche, et ne prêtèrent pas attention au nom de l'établissement. Le vagabond entra le premier, en pleine discussion avec Farmer qui le suivit, mais tellement distrait par la conversation qu'il se cogna la tête.

Lylyth rentra à son tour, son corps mince passant tranquillement.
Puis ce fut au tour de Sêpsis, et il regarda d'un œil énervé la jeune femme quand il fut obligé de se baisser pour rentrer. Lylyth sourit en le regardant se tortiller.

Elle se tourna, et partit commander des boissons à l'auberge.

L'auberge était plutôt grande, dont un étage richement décoré surplombait tout le rez de chaussée. Le grand homme rejoignit ses deux camarades qui étaient déjà assis à une table.

-"Ouai, mais j'en aurait plus"

_"tu paris que non ?"

Ils parlaient déjà de la bataille qui allait arriver. Sêpsis préféra ne pas écouter : tants d'hommes se morfondaient dehors derrière la peur de ne jamais retrouver sa famille, de se faire tuer au combat...

La belle jeune femme revint près d'eux, et déposit les breuvages.
Sêpsis ne comprit d'où venait son regard amusé que quand il bu à grandes lampées son liquide et que tout le monde recracha presque en même temps.
Lylyth souris, bien qu'un air dégouté transparaissait sur son visage à la vue de la boisson coulant un peu partout.

Farmer : "Qu'est ce que..."

Vagabond : "Ce n'est pas de la bière ?!"

Sêpsis se leva, repassa avec difficulté la porte, et regarda la pancarte de l'auberge : "A la bonne théière".

Après cette soirée pour le moins "mouvementée", tous partirent se coucher.

Sêpsis a Lylyth : "Tu as pris combien de chambre ?"

-"Et ben...j'ai pris deux chambres : vous dormirez à trois, et moi seule. Une jeune femme ne vas pas dormir avec deux hommes quand même"

-"Comme tu veux"

La nuit était calme. On pouvait entendre les criquets siffler dehors, soutenue par le hululement d'une chouette.

Hors de question de dormir à trois dans une même chambre alors qu'à lui tout seul il prenait presque toute la place. Il sortit prendre l'air tranquillement.

L'air était frais, et une légère brise caressait son visage. Il perçu au loin les cris d'amusement de certains hommes dans leurs camps. Certains jouaient à des jeux de dés, de cartes, d'autre écrivaient des lettres à des proches qui ne les recevraient probablement jamais. D'autre encore se mettaient dans un coin et se balançaient d'avant arrière sur leurs chaises.

Il s'éloigna de tout ce bruit, et s'isola près d'un petit lac. Il se déshabilla presque entièrement, dégaina son épée, et prit une position de combat.
S'en suivit plusieurs heures d'entrainements intenses, où chaque muscles participaient à la maitrise de l'arme aux proportions hors normes et la laissa tomber.

A la fin, transpirant, il lacha son épée. Le contact de la grosse lame et du sol fit s'élever un peu de poussière dans un bruit étouffé.

Il se dirigea vers le lac, et il déplia ses ailes. Ces dernières cachèrent la lumière de la lune. Le ciel quand à lui était d'un noir ténébreux, comme pour prévenir des batailles qui arrivent...Il leva les bras, et ses chauves souris arrivèrent tel une masse sifflante d'ailes, de dents acérées et de griffes. Elles semblaient danser au dessus lui.

Les ailes de l'hybride battirent, provoquant de puissantes bourrasques, puis elles se replièrent. Il se laissa alors doucement glisser à demi nu dans l'eau glacée...

Pendant que la nuit passait Lylyth était seul dans la chambre, Farmer et Vlad se disputait des coussins de temps à autres ou bavardait bruyament... Puis au bout d'un moment tout fut silencieux.
Elle était assise bien au fond du lit et réfléchissait, elle avait aucune envie de dormir et avait envie de prendre l'air... Elle se leva vivement et ouvrit la fenêtre, elle se percha sur le rebord et sortit ses ailes. Une petite ballade nocturne ne lui fera pas de mal, elle regarda la rue, déserte ! Elle s'élança dans le vide et avant d'arriver sur le sol elle s'éleva dans les airs. Elle fit quelque loopings dans le ciel, dans la fraîcheur nocturne. Puis elle aperçut un petit lac non loin, elle s'y dirigea et une fois au sol elle fit dissparaître ses ailes.
Ses ailes rentrèrent lentement dans son dos laissant quelques plumes noires au sol, mais pendant que le jeune fille s'aprochait et retirait son vêtement qui recouvrait sa poitrine elle remarqua Sêpsis, comme le lac éte très long elle alla à l'autre bout. Derrière un gros rocher elle retira sa jupe et alla se laissa choir dans l'eau noire.

* Zute... il va finir par me voir ? Ha bon tant pis !*

Lylyth resta toujours au même endroit, heuresement pour elle des rochers la cachait de la vue de Sêpsis qui semblait pensif. Lylyth ne pouvait pas s'empécher de le fixer, elle avait aussi reprit son eternelle figure triste.
Puis au bout d'un certain temps, elle tourna le dos à l'homme pour qui elle avait une tendre... amitier. Oui c'est se qu'elle songea, fermant les yeux et posant ses mains sur son coeur elle était inquiette, peut être que dans la bataille à venir elle allait être tuer ? Et elle ne le reverrait donc plus jamais... Pensé qu'il puisse mourir ne lui éfleura même pas l'esprit, mais son esprit lui tomba un instant dans les ténèbre. Lylyth glissa sous l'eau.

• Lylyth voyait ténèbres, elle se trouvait dans un endroit qui semblait très grand et petit à la fois. Elle marcha dans une direction au hasard, mais il lui sembla ne pas marcher très loin... Une voix résonna, une voix mielleuse, nasillarde, une voix féminine mais tout sauf agréable :

La voix : - Bien le bonsoir Lylyth !

- Où suis-je ?

La voix : - Dans les méandres de ton esprit ma belle !

- Qui êtes vous ?

La voix : - Devine un peut par toi même... Chérie ! •

Puis elle revint à elle, elle remonta à la surface. Elle se rendit compte qu'elle n'avait plus pied, elle nagea donc vers la rive mais se souvint d'une chose : Sêpsis. Sêpsis qui tournait le dos aux rochers un peut plus loin entendit quelqu'un remonter à la surface, il se redressa et se retourna et vit Lylyth, sans comprendre pourquoi ses yeux éfleurèrent le corps de Lylyth, son dos, ses muscles fessiers et ses jambes. Il reprit vivement sa position initial, il avait les yeux grand ouverts, les pomettes légèrement rouges et il déglutit.

Lylyth qui s'était immobiliser tourna très lentement la tête vers Sêpsis, et non ce n'était pas un rêve il était bien là !
Paniqué de l'eau gicla et les ailes de Lylyth apparurent, elles entourèrent son corps, Lylyth alla vivement derrière un rocher.

Sêpsis : - Heu... je... voulais pas... si ça peut te rassuré j'ai... j'ai rien.. rien vue !

Lylyth était un peut déboussoler, déjà par son rêve mais encore plus après avoir vue Sêpsis, lui au moin avait quelque chose pour cacher se qu'il fallait chacher... Mais elle se doutaiit qu'il l'avait vue et qu'il mentait dans l'espoire qu'il n'y ai pas représailles. Elle dit rien et s'éclipsa, Sêpsis lui atendit une quelconque réponse au bout d'un moment il se risqua à aller voir derrière le rocher... personne !
Il se retrouva seul avec ses chauves souris, un peut honteux.

Lylyth était retourner à l'auberge, une fois dans sa chambre elle se calla dans un coin sombre, toujours aussi nue. Farmer qui était aller prendre l'air et boir un peut d'eau on ne sait où, frappa à la porte de Lylyth il l'ouvrit et la vit dans l'ombre il remarqua les vêtements par terre.

En refermant vivement la porte : - Ho je suis désolé ! Je voulais juste savoir si tout allait bien ! Bon heu...

Et il retourna dans la chambre, Lylyth resta recrocvillé dans le coin jusqu'au petit matin. Le soleil entra dans sa chambre, elle remarqua et se releva, elle remis ses vêtements et decendit comender une boisson.
Les autres descendirent bien plus tard, ils rejoignirent Lylyth à la table où elle était, ils comendèrent tous quelque chose à manger.

Farmer : - Ha au fait... pour hier... je suis navré.

Vlad et Sêpsis échangèrent un regard haussant un sourcil, Sêpsis qui avait commencer à manger posa sa fourchette et avala se qu'il avait déjà.

Sêpsis : - Ouai... pour le lac...

Lylyth faisant mine de pas comprendre : - De quoi vous parlez ?

Les deux : - Bah...

- Oublier bien vite ça ! Bon sinon, on devrait aller retrouver le reste des futurs combattants... Ils vont partir dans pas très longtemps je pense...

Elle fini un thès qu'elle avait commandé, mangea une tartine qui restait dans une petite assiette et se leva pour aller payer sa note.
Sêpsis regarda Farmer, celui ci haussa les épaules. Ils se levèrent tous et après avoir payer leurs notes individuelle sortir retrouver le reste des futurs combantants.

Lylyth ne semblait ne plus vouloir lui parler.

Mais il ne voulait pas chercher à argumenter pour rien.
Ils se dirigèrent ainsi, tous dans le calme, vers le camps des combattants.
Des restes fumants de feux de camps étaient disposés un peu partout, et des hommes d'âges divers dormaient dans un ordre loin d'être militaire, mis à part les soldats de métiers.
Cependant, il remarqua que les elfes, les hommes et les nains vivaient tous entre eux. La guerre rassemblait les armes et les boucliers, pas le reste.

Le bruit désagréable d'une trompette retentit bruyamment, et tous les peuples qui sommeillaient sur cette terre se relevèrent avec le même ralement, hormis les elfes. Disciplinés comme jamais, ils se tenaient déjà droits alors que les nains buvaient des restes de bières de la veille dans leurs chopines alors qu'ils étaient encore dans leur sac de nuit, à moitiés engourdis.

Le cavalier sortit de sa tente en trombe, et tomba nez à nez avec la bande des quatre compagnons. Il lança un regard glacial à Sêpsis et Lylyth, puis monta sur son destrier, et hurla au raliement humain. Les elfes et les nains en firent tout autant.

Même pas un demi heure plus tard ils reprirent la route.Des tambours placés un peu partout rythmaient les pas de bon nombre de personnes. Certains préféraient toute fois avancer comme bon leur semblait.

Farmer et le vagabond reprirent leurs interminables discussions de combats, mais la jeune fille du groupe était isolée.
Sêpsis ralentit pour la rejoindre.

Elle ne le regardait pas. Il s'arrêta, mais elle continua sa route, fixant le sol.
Il fit alors quelque chose qu'il ne pensait pas faire un jour : il l'attrapa par la taille, et la rapprocha de lui. Ne s'attendant pas à ça, Lylyth perdit pied et s'affala sans le vouloir sur Sêpsis. Ses cheveux étaient légèrement ébouriffés par le mouvement. Il approcha alors sa tête doucement d'elle, avant de lui chuchoter :
"écoute, tu es très belle, et je quand je suis avec toi, quoi qu'il se passe, je me sens bizarre, alors ne le prends pas pour toi si je suis un peu...enfin, tu me comprends...Je suis désolé pour hier, et je peux te jurer que la seule chose que j'ai vue, ce sont les formes de ta silhouette. Allez, ne sois pas honteuse, il n'y a pas de raison que tu le sois. Qu'importe ta nature, je t'apprécie pour ce que tu es Lylyth."

Il lui fit un sourire du coin des lèvres. La jeune fille n'en revenait pas que Sêpsis lui dise ce genre de chose, lui qui d'habitude est réservé sur ce qu'il pense d'elle et sur ses sentiments. Cela était presque comme une déclaration, mais trop maladroite peu être pour en être une vraie.

Le visage de Lylyth voulait à la fois dire quelque chose, et en même temps ne rien dire et laisser continuer son ami de quête. Les deux êtres se regardaient yeux dans les yeux, sans rien dire, très prêt l'un de l'autre, Sêpsis tenant toujours la taille de la jeune femme de manière tout à fait inconsciente.

Mais tout à coup, des rires provenant de deux combattants passèrent pas très loin, surement d'amusement de voir ces deux là dans cette situation.
Les deux personnages reprirent comme miraculeusement leurs esprits, et s'écartèrent d'un coup, puis regardèrent dans des directions opposées, mine de rien.

Un des combatants envers Sêpsis : "Alors, on tente sa chance ?"
Son ami s'esclaffa.

Sêpsis réagit au quart de tour, et se retourna. Il attrapa l'homme par le col, et rapprocha son visage très près une nouvelle fois d'une personne, mais cette fois avec un air très menaçant.

Sêpsis, le ton grave : "écoute moi bien sale larve : refais encore une fois ce genre de réflexion, et tu n'auras jamais plus les moyens de bouger ne serais ce qu'un seul de tes membres de toute ta vie. Compris ?"

Aucun des deux ne répondit, ce qu'il prit pour un acquiescement. Il se retourna vers Lylyth, et remarqua qu'elle souriait de la réaction qu'il avait eu envers les deux hommes.

Sêpsis, d'un ton un peu grave, tenant de masquer son gène : "bon hem...je vais...rejoindre le début du cortège pour...voir si tout va bien...A tout à l'heure Lylyth"

Et il partit le pas pressant, vers la tête de l'armée qui avançait.

La jeune fille le regardait tout en gardant son sourire malicieux...

La marche n’était pas fatigante en elle-même, mais l’épuisement des jours précédents l’exprimer. Quelques fois, des soldats laissaient paraitre leur inquiétude : par des tremblements, des isolements parfois... Le vagabond les soulagés d’une tape sur l’épaule et de quelques paroles, mesurant l’étendu de son erreur de quand il parlait de ses exploits avec Farmer, et se reprocha d’être parfois gamin.


Tout le monde vit pour la première fois le château, en haut d’une colline, et à la moitié du trajet. Les goules étaient présentes sur la colline. La tension montait encore plus.



Puis vient le moment où ils arrivèrent en face de l'armée des morts qui avait assiégait le château. Ces morts, aillant repérer l'armée du bien près d'eux, se préparèrent. Ce château était rongé par les attaques des morts-vivants, et la simple vision exprimer la détresse de sa population.

Farmer -« On est arrivé »

Le vagabond -« Oui»

Le chef prit la décision suivante : fonçait dans le ta et se retranchait dans les rempares du château.
Ordre exécuté, ils passèrent tous à l’attaque :

Le chef –« Que tout le monde se tienne prêt à défendre son honneur, sa gloire,
sa patrie, ainsi que sa famille ! » De puissants cris de encouragements sortir de la bouche des militaires, et c’est par ces simple mots, que les soldats foncèrent sur l’ennemie…

Le vagabond courrait en tête grâce à sa rapidité, à côté du chef qui l’avait rejoint. Lilith suivait juste derrière, sa rapidité également stupéfiante. Puis, Sêpsis et Farmer étaient avec les soldats. Les autres troupes de mercenaire étaient un peu partout.
Le face à face avec les deux armés fut brutal. Chacun frappait l’autre avec une brutalité stupéfiante. Le vagabond sautait et tranchait dans tout les sens telle un linx, Sêpsis éclatait comme un ours, Farmer décapitait comme un loup, et Lilith se battait presque aussi brillamment que la déesse de la guerre Athéna. Les pertes s’identifiait à vue d’œil, et il était impossible de voir le nombre de blessait qui souffrait au milieu des corps mutilés.

C’est alors que le vagabond se retrouva au milieu d’une quinzaine de morts-vivants. Chacun attaquaient, mais il esquiva à chaque fois de peu grâce à son agilité étonnante. A chaque attaque, il esquivait et contre attaquait en tranchant avec puissance.Un moment, il sauta dans le tas et fit virvolter ses lames dans ses mains, avec grandes éffiquacitée, puisque la moitié furent tuer.Seulement, encore plus d'autres enemis arrivaient, et ils étaient beaucoup trop nombreux pour une seule personne : il n’eut pas le temps de surveiller ses arrières. Une goule se rapprochait de lui dans son dos, et frappa. Le vagabond l’aillant quand même senti, tenta une esquive, mais en vain : en effet, il se prit un coup de masse au ventre, mais heureusement pour lui, il n’eut pas de dégâts, grâce à son polstron. Mais, celui-ci tomba tout de même sur le sol.

« Merde ! », dit-il le souffle légèrement coupé.

En relevant sa tête, il put observer qu'un autre mort-viavant s’appraitait à le tuer en le coupant à la vertical... Il esquiva de peu, mais ressu quand même le coup sur l’épaule. Heureusement que les plaques de protections étaient là (celles-ci tombèrent après coup), mais une grosse entaille se fit quand même. L’homme voulant se venger, il trancha la tête de son ennemie, alors que la douleur le tenait. Au fur et à mesure de la bataille, il sentait que son sang se vidait, il en avait des étourdissements.

Après, il y eut le moment où Lilith et Farmer (qui étaient à côté) se trouvèrent en difficulté. Tout deux étaient aussi ouvert un peu partout, mais moins grave. Beaucoup trop de monstre étaient face à eux également, et en même temps. Même si ils contré le plus souvent, ils furent blaisser quand même légèrement. Puis, c’est au moment ou les deux allaient se faire empaler, qu’un être gigantesque apparut et les sauva. C’était un Troll.

Le Troll – « Eh bien, heureusement que j’étais là, vite, relevez-vous », dit-il d’une voie roque. Il tendit la main à Lilith pour la relever. Elle l’accepta volontiers. C’est juste après que Sêpsis arriva, et put remarquer le Troll. Sêpsis était d’ailleurs ouvert sur le torse.

Sêpsis – « Yrmir ! T’es là ! Ca va vous autres ?» Farmer et Lilith acquiescèrent. Lilith était une fois de plus étonné que de nouvelles retrouvailles arrivaient.

Lilith –« Qu’as-tu ?", dit-elle avec inquiétude.

Sêpsis –« Ils étaient trop nombreux de mon côté, t'inquiète pas … et je n’ai pas put arriver plus vite. »

Farmer – « Pas de soucis, on sait, on est tous débordé. Heureusement que ton amie nous a sauvé. ». Yrmir fit un grognement de fierté à l’écoute de ces paroles.

Après ça, le vagabond arriva, tout en tranchant la tête de deux bestioles.

Le vagabond – « Yrmir, … content que tu sois là. Vite, dépêchons nous, on va bientôt être trop fatigué pour continuer."

Lilith - "Oui, sa fait déjà trente minutes que l'on combat. De plus, tu ne vas pas bien du tout, tu as besoin de soins, et vite!", dit-elle en voyant la taille de la plaie du Vagabond, qui avait énormément grandi (La grosse coupure du vagabond prenait maintenant une grosse partie de l’épaule), et le sang coulait énormément.. "Et Sêpsis aussi apparemment», dit-elle, en voyant les multiples plaies sur Sêpsis, et le sang partait aussi énormément pour lui.

Nos héros se girigèrent alors vers les portes du château, toujours autant attaqué ...

Pendant la course vers la porte du château les trois héros ne remarquèrent pas que Lylyth ralentissait, elle leva son sceptre et lença un sort sur eux. Leurs plus graves blessures était amenuisé, ils voulurent la rejoindre mais les grilles de la portes tombèrent Lylyth à l'extèrieur.

- Courez ! Courez !

Sêpsis : - Lylyth nooon!!

Vlad et Farmer tentèrent de l'ammener à l'intérieur du château mais il s'agripait aux barreaux, Lylyth tendit ça main et éffleura ses doigts.
Une horde de goules et autres monstres déferla sur Lylyth, Sêpsis recula et s'enfuit avec ses compagnons le coeur serré.
Une sorte de piramyde de monstres se formait, Lylyth était en dessous, puis une explosion noire jaillit et on la vit s'élever dans les air. Elle était écorcher de partout, elle cracha du sang avant de faire apparaître autour de son sceptre et d'elle une aura violette.
Lylyth reprit un peut de souffle volant toujours au dessus des goules, puis elle tendit ses ailes et les rabattit vers le sol, des plumes dirigés par la magie vibrèrent vers les goules. Certains morts vivants explosèrent se prenant des plumes dans la tête, cela ne suffisant pas elle comença à lancer des boules de magie... Quelle était cette magie ? Serait-ce de la magie noire ? Fort possible, Lylyth est une ange-noire après tout.
Les goules était trop nombreuses, mais un autre fléau apparut et Lylyth les remarqua. Lylyth les fixa puis ses pupilles se dilétèrent au maximum : d'autres anges-noirs ! Mais tous ceux la avaient l'air grangrénés, venu d'outre tombe...
La corruption coulait dans leurs veine.
Ne sachant comment fuire elle tenta d'aller au château, mais des archer la virent et la visèrent elle se prit une flêche dans le bras droit, une autre dans la cuisse gauche et une autre lui traversa une aile.
Elle hurla et sous la douleur elle s'éfondra... Quand son corps percuta le sol, son corps rebondit dans un bruit sinistre et glauque.
Sêpsis accourut à coter d'elle, mais les archers commencèrent à lancer des flêches enflammés !

Au château, la plus grande salle recueillait soldats blesser ou encore vaillant. L'angoisse imprégnait l'atmosphère et ont la lisait sur tout les visages.
Lylyth était poser sur un lit improvisé, les trois héros à son chevet. Sous le choc et la douleur elle s'était évanouis.

Farmer dans un chuchottement : - On lui doit une fière chadelle...

Vlad : - Aller mon ami... tu verra elle s'en remettra ! Elle est forte elle se battra...

Sêpsis ne disait rien, il restait coî, abattut... Même si Farmer et Vlad cherchaient êtres réconfortant, même eux ne croyait pas leurs mots.
Ont avait retirer les flêches de son corps, et bandés ses blessures, mais Lylyth restait toujours de marbre...

• Lylyth sembla se réveiller, elle se trouvait dans un endroit bizarre... Le sol était noir à chaque pas on soulevait des nuages de poussières, le ciel noir-violet et comme si tout se noir était des nuages du rouge sang apparaissait.
Elle marcha dans une direction hasardeuse, apellant Sêpsis et les autres.
Mais une autre voix répondit, une voix nasillarde :

La voix : - Ho te revoila ? Mais dit moi tu vient souvent !

- Suis-je encore dans le même endroit ?

La voix : - Bien suuur !! Et je peut te dire que se à quoi j'aspire arrivera bientôt ! Hahahahah !

La voix s'esclaffa mais Lylyth ne comprit pas.

- A quoi aspirez vous ? Parlez !

La voix : - Mais je vois que tu n'a pas comprit qui j'était ! Ou plutôt TU n'a pas comprit QUI tu était ! *rires stridents* Je suis toi tu est moi, mais surtout je suis ton coter noir que tu à renié !

- Mon coter noir ?

La voix : - Mais ouii~ii ! Tu est une ange-noire ! N'a tu pas remarquer que ta magie est très mal vue ? C'est la magie noire ma petite !

- Je ne suis pas votre petite !

La voix : - Ho... plus que tu ne crois !♥ Ha...~ Bientôt je prendrait ta place ! Huhuhuhu ! Et là je rejoindrait les autres anges-noirs ! Les vrais ceux qui servent Les seigneurs Noirs !!

- Jamais ! Je ne vous laisserais pas faire !

La voix devenue agressive : - Ho mais tu ne peut rien faire, petite faible ! Tu n'aura pas le choix, les anges-noirs utilise la magie noir ! Tu croit que c'est bien pour quoi ? C'est pour servire les Seigneurs Noirs et leurs partisants !

- Non ! Je refuse de vous croire !

La voix : - Ferme la idiote ! Bientôt je serait à ta place, et tu sera à la mienne ! Hinhinhin.... Et après je pourait briser le coeur de se chère Sêpsis !

- Non je vous interdit !!

La voix amusé : - Ho ne t'inquiette pas, je ne lui briserais pas le coeur au sens propre !

Lylyth ne dit rien, elle s'éffondra à genoux et sanglota, une autre Lylyth avec des cheveux noirs, et une robes neuve et blanches apparut devant la vraie Lylyth.
Lylyth leva la tête et recula, l'autre Lilith souria d'un sourir spychopathe.

La voix : - Je vais t'envoyer en enfer Lylyth ! Tu vera tu sera très bien là-bas !

- Non ! Non ! Jamais, plutôt mourir !

La voix : - Je serait à ta place bien avant que tu ne songe à voiloir te tuer Lylyth ! •

Lylyth se retrouva ensuite au château, elle vit noir puis ensuite le visage de Sêpsis en ouvrant peit à petit les yeux. Elle voulus se jeter à son cou, mais elle fit à peine un geste que son bras droit lui fit atrocement mal.

Sêpsis dont l'espoir renouvelait à nouveau : - Lylyth !

Vlad : - Ho, ho, ho.... reste couché... tu doit te reposer tu à sûbit de graves blessures. Et nous te redevons une fière chandelle !

Vlad désigna son épaule qui avait un large bandage, Farmer lui avait des blessure bénignes, Sêpsis lui était dans la même situation que Farmer.
Il caressa la joue de Lylyth tendrement, elle lui souris, la fatigue se lisait sur son visage et elle était peut être encore plus pâle que d'habitude. Elle se força à parler :

- Les... des anges-noirs... ils sont au dessus de château... ils sont morts et du coter de ceux qui attaques...

Sêpsis : - Doucement, ne t'épuise pas trop... je vais aller prévenir le chavalier.

Lylyth hocha doucement la tête, et Sêpsis se leva et alla rejoindre le chavalier cabossé. Une femme vint voir Lylyth, elle examina ses bandages, puis lui donna de l'eau, elle lui dit de bien se reposer qu'elle avait besoin de force puis elle partit voir d'autre blessés.
Vlad alla marcher un peut, Farmer lui rejoingnis Sêpsis en pleine disscution avec un chevalier supposer donner les ordres d'attaques.

" Vous pouvez me répéter sa. "

" Des Anges-noirs sont au dessus du château et ils ne sont pas la pour faire une visite. "

" Vous voulez dire que nous sommes attaquez par des mort-vivant et des anges-noires? "

" Oui, le seigneur noir leur a ordonné d'attaquer. Il n'attaque pas pour le plaisir. " Répondit Farmer

" Nous ne pourront jamais lutter contre les mort-vivants et les anges noires. "

" Pourtant il le faudra que vous le vouliez ou non. "

" C'est elle qui les a prévenu. Il faut la tuer. " grogna le chevalier

" Toucher a un seul de ses cheveux ... "

"... et vous perdrez la vie. " continua Farmer.

Le chevalier toujours croyant que Lylyth les avait prévenu s'en alla. Sêpsis rejoignit Lylyth qui était endormie et Farmer rejoignit le vagabond.

" J'ai bien l'impression que l'on va perde cette bataille. "

" Tu te sent bien ?? Avant tu était plutôt d'humeur bagarreur mais la. "

" Il sont beaucoup trot nombreux. Ils ne pourront pas tenir. "

" Alors donnons leur une chance. Si il y a moins de mort-vivant et d'anges noir ils pourrait triompher. "

" Une diversion. "

" Je reviens. "

Farmer alla voir Sêpsis qui était près de Lylyth.

" Moi et le vagabond nous allons vous donner une chance de triompher de cette bataille. Va prévenir le garde. "

" C'est du suicide. N'y aller pas. "

" Tu vois un autre moyen. "

Sêpsis ne répondit pas. Farmer retourna voir le vagabond.

" Allons y. "

"Attendez, vous croyez vraiment que ça marcherait ? Ne soyez pas bêtes, trois armées ont combattus ces morts, et regardez le résultat. Que vous vous lanciez comme ça sur un coup de tête n'arrangerait rien du tout ! Il y a également une chose que je voudrais éviter : nos soldats qui sont tombés aux combats se retrouveront certainement aux côtés de l'ennemi suite à un sort de résurrection massive. Nous nous retrouvons en "statu quo". Et je ne tiens pas à voir un vagabond et un guerrier de leurs côtés"

Farmer et le vagabond ne disaient rien.

Puis il reprit : "Penchons nous plutôt sur l'origine du problème. Cette magie nécromantique doit forcément venir d'un seigneur liche..."

Farmer : "oui, c'est vrai. Mais je ne pense pas qu'une liche à elle seule puisse détenir la puissance de lever une armée, même au nom des dieux du chaos."

Vagabond : "tu veux dire que...?"

Farmer : "Oui, je pense qu'ils peuvent être plusieurs"

Sêpsis acquiesça silencieusement, confirmant sa réfléxion.

Vagabond : "Bon, il se fait tard, je propose d'aller dormir."

Sêpsis : "Nous seront certainement attaqués cette nuit"...

Vagabond : "Bon, Farmer, tu viens, on va aider la garde dehors"

Les deux montèrent les escaliers de pierres sales qui longeaient une partie de la grande salle, puis disparurent dans les couloirs sombres qui s'enfonçaient au loin.

Sêpsis prit le temps de souffler, et regarda autour de lui : des gémissements, des petits cris isolés, des flaques de sang, des outils chirurgicaux fabriqués à la hâte...Cela avait été une véritable boucherie dehors. Leurs rangs étaient bien diminués. les elfes étaient silencieux, même blessés, et nettoyaient leurs armes pour les valides. Les nains quant à eux étaient rassemblés, et se commémoraient les exploits de chaque morts de leur race, comme pour rendre hommage aux défunts. Yrmir, pour sa part, n'était pas visible.

L'ambiance était terriblement glaciale. Ce presque silence mortel s'intensifia avec la nuit tombée. Sêpsis se trouvait toujours aux côtés de la jeune fille, qui dormait, reprenant des forces.

Il lui glissa la main dans ses cheveux argentés, posa son immense épée, manquant de la réveiller à cause du bruit qu'elle fit touchant le sol, se leva et alla lui chercher quelque chose à manger, pour le cas où elle se réveillerait et aurait faim. Il prit une assiette qu'il remplit à ras bords, et le déposa sur un tonneau situé juste à côté. Il prit ensuite la direction des remparts extérieurs.

Il poussa la grande porte en bois qui grinça lors de son ouverture. L'air était frais, tellement que ça en était très agréable. Il entendait le hululement de multiples chouettes et hiboux, comme s'ils n'étaient pas concernés par la bataille qui avait eu lieu.

Le long des murs, des hommes, des elfes, arcs à la main, remplissaient leurs tours de gardes, conscients qu'un simple manque de vigilance pourrait être fatal. Le ciel était entièrement sombre, la lune cachée par d'épais nuages d'un noir démoniaque. Les seules sources de lumières potables étaient les torches prés des soldats. Il remarqua Yrmir assis sur un rempart, en train de manger un gros morceau de gibier. Il tourna la tête en l'apercevant, la bouche toujours pleine.

Yrmir : "Vvvalors, comment fffa fffe paffe en bas ?"

-"Des stratégies sont plus ou moins mises en place, mais elles me semblent plus que bancales."

-"Ha ffa, fff'est ffffur que commander des ffffivils, fff'est pas fafffile"

-"Ce que j'aimerais savoir, c'est où se trouve cette fameuse comtesse que l'on était censé sauver"

Yrmir venait d'avaler son morceau, mais l'agitait dans tous les sens pendant qu'il parlait.

-"Elle ne voulait surement pas se retrouver dans la même salle. Une COMTESSE n'a rien à voir avec de simples GENS"

-"Surement..."

Ils continuèrent à discuter pendant près d'une heure, quand Sêpsis fit une réfléxion qui coupa la parole au Troll.

Sêpsis : "tu ne trouves pas que c'est...calme ?"

-"Oui, c'est vrai"

-"écoutes bien"

Après quelques secondes.

-"Mais je n'entend rien"

Sêpsis se leva d'un coup et cria d'une voix roque.

-"Justement ! Les chouettes, elles ne font plus rien !"

Yrmir fit tomber son bout de viande, et se leva à son tour.

Un cri humain gorgé d'effroi hurla : "On nous attaque !! On nous attaque !!! Aux armes !!!"

Tout le monde se tourna vers l'homme, et ce dernier montra du clair de son épée dégainée une direction, que les soldats s'empressèrent de suivre. La lune apparue comme par magie et éclaira le sol du qui faisait face au chateau.
Sortant du sol par centaines, des morts apparaissaient sous la lueur de la pierre blanche qui tronnait dans son ciel sans étoiles.

La terre remuait de partout, et lentement, les morts s'extirpèrent de leurs prisons.

Le cavalier cabossé ouvrit la grande porte en trombe, et se jeta sur les remparts d'où provenait le cri.

-"Archers !!! Prenez vos positions, et tirez seulement lorsque j'en aurais donné l'ordre !!!"

Il regarda un jeune homme : vous, dépéchez vous de prévenir tout le monde dans le chateau qu'on nous attaque, nous n'avons pas une minute à perdre !!!"

Le jeune homme partit à vive allure. Yrmir tira alors le bras de Sêpsis et lui montra du doigt le ciel.

-"Regarde là haut !!!"

Des gargouilles, par centaines, volaient en direction du chateau. Ces monstres de pierres ailés ne craignant pas la douleurs, il allait être difficile de les tuer.

Les morts commençaient déja à frapper la porte d'entrée du chateau, étant donné qu'il n'y avait ni fossé, ni pont levis.

Sêpsis se précipita vers la grande porte.

-"Où tu vas ?!"

-"Essaye de retrouver Farmer et le vagabond, moi je vais m'occuper des goules en bas et protéger Lylyth !!!"

Le vagabond -« Mince, on est attaqué Farmer ! »

Farmer –« Oui, allons voir !»

Les deux personnes se dirigèrent sur les rempares, et observèrent le spectacle des morts-vivants, qui se passait au nord du château. On entendait les civils hurlait de frailleur, et tous partaient dans le Saint Temple, situé à côté du donjon.

Le vagabond – «Ils sont trop nombreux, il faudrait trouver un moyen d’en neutraliser le plus possible, et en une simple manipulation … »

Farmer –« Des goules se ramènent également ! »

Le vagabond – «Vite, une solution ! … Je sais ! Il y les elfes et leurs flèches magiques enflammés ! …

Farmer-« Qu’as-tu derrière la tête ? »

Le vagabond – «Laisse moi faire, tu vas voir … Par contre, toi, va voir le chef qui s’occupe de la protection des rempares. Je te ferai un signal avec ma magie, alors là, tu lui diras de nous faire confiance, et de verser l’huile sur les goules ! »

Farmer –« Je vois se que tu veus faire …, mais tu sais bien que la moitié au moins se relèveront. »

Le vagabond – «Je sais, mais c’est la seule solution »
Farmer –« Bien, go ! »

Et les deux personnages allèrent chacun de leurs côté remplir leur mission. Les gargouilles avaient maintenant atteint le sommet du donjon, et on pouvait remarquer que la garde personnelle de la comtesse se bâtait bravement contre eux…

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Yrmir quand à lui, cherché Farmer et son compagnon. C’est en cherchant eu pied de la tour sud-est, qu’ils virent un groupe de squelettes flottant dans les airs, et utilisant une magie qui faisait former une spirale dans le ciel.

Yrmir –« Des liches ! Voilà ce qui … ». Il n’avait même pas fini sa phrase, que des
limaces grandes de deux mètres sortir du sol. Ils étaient tous écœurants. Chacun avait sa bouche en forme de cercle, et ils n’avaient pas d’œil. Ils étaient quatre en face de lui, mais il put voir que d’autre se dirigèrent dans tout le château.

Yrmir –« Venez mes petites chéries, papa à quelque chose à vous montrer », dit-il en pointant ses deux haches sur les immondices. Sans plus tarder, une d’elle passa à l’action. Leurs apparences étaient trompeuses, car il fonça sur le Troll avec une rapidité digne du vagabond. Le premier fut tranchait sans aucun problème, et une gerbe de sang gicla sur Yrmir. Celui-ci en ressu sur tout le corps. Le vers gesticulait sur le sol, et les cris de son agonis étaient assourdissants. C’est en fonssant sur une autre limace, qu’Yrmir ne sentit plus sa jambe droite, et il s’écroula au sol.

Yrmir –« Mais enfin c’est quoi ce bordel !». Yrmir regarda sa jambe qui lui a fait défaut. Il remarqua que du sang de la créature avait touché une légère plaie qu’il s’était fait pendant la bataille précédente.

Yrmir –« Zut, c’est quoi ça, du poison ? » Il essaya de bouger la jambe, mais le muscle ne répondait pas ... Sa jambe était inerte … et les autres créatures allaient en profiter …

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Farmer passa le message que lui avait donné le vagabond. Celui-ci aillant vu que sont plan se dérouler comme prévus, il leva le bras, et une longue colonne d’énergie verte en sortie. Farmer l’aillant vu, il ordonna aux soldats de verser l’huile sur les morts. C’est une fois que les morts vivants reçurent les huiles chaudes, que le vagabond ordonna aux elfes de tirer de leurs flèches de feu sur les goules maintenant anduis d’huile. Les elfes ne ratèrent aucunes cibles, et le vagabond bénie les Deux d’avoir des cousins aussi précis.
Les morts-vivants brûlaient tous énormément, et nombreux sont ceux qui mourraient carbonisé. Le feu enchanté des elfes brulaient des membres des morts tellement profondément, que ces membres en tombèrent. Cette opération était une réussite totale, le trois quart des goules était tombé. Le vagabond, qui pensait être un stratège de basse qualité, se félicita dans sa tête. Il était temps maintenant pour lui et Farmer de laisser les archers achevaient les morts, et de rejoindre le cœur de la bataille, qui était dans le château, contre les vers géants …


Les nains et les soldats quand à eux, s’occupaient des limaces géantes dans le château, et ne tardèrent pas à remarquer la puissance de leur sang. Heureusement que des magiciens de toutes races purifiaient leurs globules rouges en même temps …

Je laisse la scène de Sêpsis et Lylyth aux autres (bien que vous pouvez quand même continuer la scène avec Yrmir, le vagabond, … ), sinon je sent que je vais tout finir seul ^^.

Sêpsis descendait les marches le plus rapidement possible, si bien qu'il les sautait deux par deux. En arrivant, il aperçu des nains et des hommes se battre avec courage contre les vers aveugles.
Sêpsis frappait des poings les lombrics géants qui passaient à sa portée tandis qu'il se dirigeait vers Lylyth. Ses chauves souris avaient déja commencé le travail de protection de la jeune femme : une barrière violacée et opaque tournoyait autour de Lylyth toujours inconsciente malgré le vacarme.
Chaque gros ver qui essayait de forcer la barrière magique était viollement rejeté en arrière dans un bruit visqueux et sale et se carbonisaient dans de grandes et lumineuses flammes de même couleur.

Il arrivait enfin devant le chevet.

Étant donné qu'il ne pouvait trop s'éloigner de sa belle, il se contenter d'achever, d'écarter, et bien que la barrière brulait tout intrus susceptible de vouloir passer, les ennemis affluaient de plus en plus.
Cela en était vraiment impressionnant, non pas de la masse mais de la nature même des opposants : tous différents, mais tous les mêmes à la fois.
Les goules avançaient lentement, mais lâchaient des murmures presque inaudibles, comme s'il s'agissait de râles, de lamentations. Les gros lombrics quant à eux crachaient, claquaient de leurs nombreuses et petites dents acérées. Sêpsis leur arrachait ce qui leurs servaient de moyens de perceptions, des genres de tentacules humides d'un liquide à la couleur louche.
Il voyait de temps à autre des humains ou des nains se faire déborder

Sêpsis : "Tenez bon !"

Il les rejoint, et armé de son épée il coupa, trancha, digne des plus grands massacres de toute l'histoire du pays. Des bruits de liquides résonnèrent dehors, et des grognements et des râles arrivaient de derrière les portes.

Le sol se voyait constament troué par de nouveaux ennemis, Sêpsis commençait à se voir submerger, alors qu'il tuait comme jamais auparavant. Sa lame effectuait des arcs de cercle, trancha deux à la fois, tuant, tuant,tuant... Il était recouvert du liquide visqueux.

Le petit matin était arrivé, et il était si affaiblis que les coups étaient de moins en moins parés, et il encaissait un peu plus à chaque seconde qui passe. Avec la luminosité de l'aube, les chauves souris crièrent, et commençèrent à rompre l'enchantement de protection. Il ne falut pas attendre longtemps pour que Lylyth se retrouve à découvert, son jeune corps mince inanimé...


Sêpsis voulait l'aider, et se dirigeait vers elle lentement. Sa vue était trouble. Il ne ressentait plus la douleur. Juste une légère brise glacée envahir son corps. Il n'avait jamais été aussi mal mené de toute sa vie. S'il survivait à cela, il aurait beaucoup de choses à remettre en question...

Une pointe de lance traversa son épaule gauche, et de l'hémoglobine coula à flot de la nouvelle plaie. Cette fois, il ressentit la douleur. Il se retourna et donna un violent coup de coude à son assaillant, ce qui lui fit décoller le crâne de sa colonne vertébrale et fit tomber le corps tel un tissu.

Sêpsis clignait des yeux. Il voulaient se fermer de fatigue. Non, il ne devait pas. Il voyait des silhouettes se rapprocher de Lylyth. Il entendait les cris des femmes, des enfants, mais surtout des hommes et des nains, certains perdant toute confiance en l'issu initialement espérée du combat, certains maudissant de tous les noms les créatures venues droit des enfers...

De petits mouvements sortaient sous forme de flammes noires du corps de Lylyth.

Sêpsis : "Que..."

Il hurla si fort qu'il fit trembler les murs qui l'entourait, se releva d'un coup oubliant sa fatigue, et se dépécha de la rejoindre. Il fut expulsé en arrière contre un mur, fissurant ce dernier, tandis que l'aura démoniaque léchait de plus en plus fort le corps de la jeune femme.

Sêpsis cracha un filet de sang, se releva grâce à l'appuie que lui apportait son épée, et avança vers Lylyth. Ses membres ne tenaient debout que par sa seule volontée de lui venir en aide et de la protéger. Il souleva son épée, et frappa dans le vent à l'horizontale pour frapper les flammes noires sans toucher la belle. Il fut de nouveau expulsé. Cette fois, il ne se releva pas de suite. Venu d'un coup, un ver venait de lui cracher un fluide visqueux sur tout le corps, paralisant le guerrier et l'obligeant de recourir à ses dernières ressources pour combattre à nouveau. Il se hissa en ralant, et le ver lui goba le crane, les dents de la créatures entaillant son cou. Sêpsis mis ses mains aussi rapidement qu'il le put dans la machoire du lombric pour l'empécher de le croquer.

Sêpsis : "Il y en a marre !"

D'une force phénoménale, Sêpsis, par des mouvements de bras opposés, arracha la tête de son ennemi, répendant jus divers en tous sens.

Sa vue était assombrie. Il put remarquer toutefois que le corps de Lylyth flottait dans les airs, comme soulevé par sa poitrine, les bras attirés par la gravité, les flammes noires tout autour...

Lylyth s'élevait dans les airs, les flammes noires léchant son corp. Beaucoup de combattants se stoppèrent de combatre, ils regardaient Lylyth avec incrédulité, mais les monstres eux n'attendirent pas pour reprendre les combats, et certains guerrier se firent surprendre.

Les flammes noires laissaient voir le corps de la jeune fille, mais elles commencèrent à formé une sphère compacte et opaque. Un elfe tira une flâche, Sêpsis lui lença un regard s noir que l'elfe en trésaillit. Mais la flêche s'embrasa 20 cm avant même de toucher la sphère, puis du vent se leva, les vers reculèrent et n'eurent plus la force d'attaquer ! Ce qui fut une occasion en or pour les éliminer.
Puis quelques instants plus tards, des éclaires rouges sangs frappèrent la prison noire de Lylyth ! Dans de fracassantes explosions la sphère se fissura au fur et à mesure, dans une explosion cristalline le corps de Lylyth tomba violement vers le sol. A la grande surprise de tout le monde, Lylyth se rattrapa sur les genoux et lentement elle se releva.
Mais elle avait quelque chose d'étrange... Quoi ?
Sêpsis qui avait la vue trouble, plissa les yeux et fit un éffort pour se souvenir.
Il trouva se qui clocha : ses cheveux étaient noirs et non pas argenté ! Et sa robe blanche non pas noire !
Lilith... la concentration de ténèbre dans le coeur de Lylyth est enfin libéré.
Lilith s'esclaffa, son rire glaça les sangs, des gens tombèrent sur un genou. Lilith déploya ses ailes et s'en alla rejoindre les Anges-noirs au dessus du château.
Sêpsis n'en croyait pas ses yeux, il posa ses mains au sol, tête basse... il se lamentait. Lui avait-elle mentit depuis tout se temps ? Non surment pas !
Il se releva mais il eu un vertige et resta finalement assit, il se dit qu'il y avait sûrement un moyent de ramenner la vraie Lylyth avant de s'assoupire.

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• Encore le déset sans fin, noir et désolé... Lylyth, cette fois la vraie se retrouvait dans les méandres de l'âme de la méchante Lilith !
Elle hurla de colère, en même temps un orage sec éclata. Rien qu'au premier coup de toner elle se calma, et réfléchis.
Immobile les idées fusèrent dans sa tête, elle déploya ses ailes et s'envola. Elle ferma les yeux se conscentrant : un palais aparut peut à peut, gagnant de l'opacité à chaque minutes. Une fois cela fait, Lylyth réfléchis encore : une rivière ? Une rivière apparut !
Elle se posa à l'entré du palais, bien sur les laquais n'étaient pas en option... Elle entra et trouva une pièce magnifique et très agréable.
Une fois là, Lylyth réfléchit à un plan pour éliminé celle qui à prit ça place. •

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Lilith discutait avec un Ange-noir, il n'avait pas l'air très bavard et il paraissait très agressif. Lilith discutait toujours, son interlocuteur se mit enfin à parler...

Lilith : Alors !? Quand allez-vous les achever ?!

L'ange-noir : - Ecouter si nous somme ici c'est bien parce qu'on nous la ordonné ! Ont attaquera si les vers géants et les goules ne suffisent pas...

Lilith : - Mais c'est ridicule ! Vous devrier attaquer, vous avez la force nesséssaire pour raser le château en une seul fois !

l'Ange-noir giffla Lilith, elle lui lença un regard de tueur et s'en alla se poser sur le toit d'une tour toute proche. Elle resta assise et réfléchit... mais elle tomba dans l'inconscience...

• Lilith se retrouva dans une sorte de cage en métale rouillée, hérissé de pique à l'intérieur. La vraie Lylyth lui fit face.

- Comment on se retrouve ? ALors c'était si facile de m'appeller ? En tout cas je n'ais pas eu de problême...

Lilith : - S***** ! Tu compte faire quoi de moi ?! Je suppose que tu veut reprendre ta place ?

- Oui... je veut ma place mais aussi... je veut t'éliminé !

Lilith : - Tu m'éliminera peut être mais la magie noire restera en toi !

Lilith écarquilla les yeux, elle avait dit quelque chose qui ne fallait pas ! Elle tourna le regard sur le coter vers le sol. Lylyth eu un rire satisfait.

- Ha ha! Hé bien... je vois ! C'est d'autant plus parfait, enfin... se débarassé de la magie c'est pas non plus si mal... mais bon ! Bon alors... Quel outils vai-je donc utiliser en premier ?

Lylyth se retourna, les deux Lilith se retrouvèrent instantanément dans une salle de torture insalubre et sinistre. Des jet de vieux sang collaient les murs... Lilith commença à s'ajité.

Liliyh : - Je te jure que tu vas le regrétter !

- Ou sinon quoi ? Tu vois... je risque rien moi ! Parce que tu vois, tu avait raison je me sens très bien ici... j'ai fait ma loi et si je pense à quelque chose, ça apparaît ! Regarde !

Lylyth ferma dix secondes les yeux, quand elle les rouvrit, la cage était remplacée par des murs de ronces. Et des fleurs d'une couleur violette qui s'ouvrait et se refermait. Lilith voulut toucher un pétales d'une des fleurs, mais la fleur tenta de lui mordre le doigt. Elle tenta de faire apparaître quelque chose pour elle... mais elle n'y arriva pas !

Lilith : - Espèce de petite...!

- Hey tu va pas commencer à m'insulter ? Je pourais me fâcher et très fort... se qui te serais regrétable ! •

Sêpsis se réveilla, il était épuisé mais vivant... il voyait un peut flou et sa vue se déflouta peut à peut, les deux visage de Vlad et Farmer étaient juste devant lui. Il eu un mouvement de recule, il ne s'y attendait pas du tout !

Vlad : - Alors comme ça vous avez tout décimé avant nous ?

Farmer : - On ta laisser dormir... vue qu'on arrivait pas à te réveiller... Je veux pas jouer les troubles fêtes... mais elle est où Lylyth ?

Sêpsis : - Dehors avec les Anges-noirs...

Le deux autres en coeur : - QUOI?!!

Sêpsis, portant une maibsur sa tête : - Baisser d'un ton, abrutis ! Je sais pas comment, ni pourquoi... mais elle à changer d'allignement...

Vlad : - Tu veut dire que ? Qu'elle est... contre nous ?

Sêpsis hôcha la tête.

Farmer : - Je veux pas y croir... elle est trop charmante pour... Et p'is ça t'briserait l'coeur vieux ! Y'a sûrement un moyent de la faire revenir !

Sêpsis resta immobile, Farmer et Vlad échangèrent des grimaces et des regards anxieux... Sêpsis releva la tête.

Sêpsis incrédule : - Comment ça 'ça me briserait la coeur' ?

Vlad posa une main réconfortante sur l'épaule de Sêpsis.

Farmer s'éclaircissant la gorge : - Heum... heum... Bah, ta toujours dans étincelles dans les yeux quand tu la regarde... T'es prêt à tout pour la sauvé... Qui ne le verrait pas ?

Sêpsis : - Ha...

Farmer haussa les épaules... Il eu un long moment de répis, pour les survivants.
Mais au dessus de leurs tête, les Anges-noirs étaient toujours là. Trois se consultait à l'écart des autres. Qu'allaient-ils décidés ?

Le chevalier cabossé : - C'est pas coyable !! C'est tout se qui restent en tant que survivants ? Si les Anges-noirs décident de donner l'assaut nous ne pouront pas résisté...

Un soldat : - Chef... il nous faudrait un plan....

Le chevalier : - Un plan ?!! Bien sur !! Ta une idée peut être !??

Le soldat se faisait tout petit et penchait en arrière, un homme entra dans la tante primitive faite avec des rideaux. L'étrange inconnu posa une main sur l'épaule du soldat, qui en voyant sa main s'enfuis.


L'inconnu : - Je ne sais pas pourquoi... mais je fait fuir, il semblerait...

L'inconnu avait une voix lente et douce, peut être la qualifirait-on de sucré, en tout cas, une voix qu'on aurait envie d'écouter et de suivre... par contre il avait les yeux bandés, et ses vêtements n'avaient pas l'air de toute première jeunesse.
Le chevalier cabossé leva un sourcile.

Le chevalier : - Oui ? Vous êtes ?

L'inconnu : - Mon nom importe peut. Je ne suis pas ici pour chercher querelles, mais j'aurais un plan à vous proposé... Cela marchera... si vous me faite un peut confiance, bien sur.

Le chevalier : - Heu... ouai dite toujours ?

L'inconnu : - Hé bien voila ma proposition... Les Anges-noirs vont sûrement attaqué, puisque que les autres monstres ont battut en retraite.
Les Anges-noirs sont aussi des morts-vivants, se qui pose probléme... Car leur magie est d'autant plus puissante, alors se que devrait faire le reste des survivants c'est faire semblant d'être mort et dés que les Anges-Noirs seront sur le sol...

Le chevalier : - On leur sauterait dessus et leurs trancherait la tête... Ingénieux, je doit l'avoué...

L'inconnu : - Merci... ce n'est rien. Quelqu'un d'autre aurait tout aussi bien pû trouver la même ruse...

Le chevalier sceptique : - Mais qui m'dit que vous nous traïrait pas ?

L'inconn : - Vous m'offusquer monseigneur... Si j'étais un énemi je ne serais pas là, à vous proposer un plan de survie... Après vous faite se que vous voulez... Adieu !

L'inconnu sortit et traversa la grande salle entre les survivants, morts, et flaques violettes. Le chevalier sortit lui aussi après une longue réflextion, mais il ne vit pas l'étrange homme... Il appella un de ses collègues et lui expliqua le plan au creux de l'oreille :

Le chevalier : - Surtout tu leurs explique le plan et explique aussi qu'on doit faire le moins de bruit possible...

Le collègue hocha la tête et partit expliquer le plan au gens.

• De son coter Lylyth discutait avec son double méchant. Lilith criait et s'ajitait dans sa cage de ronce, les fleurs bizarre l'attaquaient. Lylyth n'affichait aucune émotions, puis la cage dissparut et Lilith apparut, déchicté de partout.
La double resta au sol, son sang dégoulinant de partout, Lylyth fit apparaître une dague dans sa main gauche. Elle s'étonna de l'étrnge garde... une araignée violette et une lame presque bleu, elle plissa les yeux essayant de se souvenir...

Lilith : - Tu ne te souvient pas ? Tu l'a pourtant entrevue dans la montagne !

Lylyth regarda Lilith et lui flanqua un coup de pied qui la fit roule sur le sol.

Lilith crachant un filet de sang : - Pppth ! Une dage identique à assassiné ton Rana adoré ! Il n'a jamais été ton père... enfin pas ton père biologique...

- Oui... je me souvient maintenant... et c'est avec cette dague que je vait te tuer !

Lylyth se jeta sur son double et se battit avec pour lui enfoncé la dague dans la gorge. •

-"Hors de question"

-"Pourquoi pas ? On a rien à perdre à essayer"

Farmer ne comprenait pas le négationnisme constant de Sêpsis face à ce qu'il disait.

Sêpsis reprit.

-"Je ne vois pas en quoi jouer les morts nous servira : les anges noirs ne sont pas stupides, loin de là, et ils ressentiront notre aura d'énergie vitale. D'autant plus que jouer le mort nous dépouillera de nos armes, et nous serons sans defenses. Pour moi, c'est purement et simplement comme si nous acceptions la mort !!! Hors de question".

Le vagabond s'imposa à son tour dans la discussion.

-"Euh, en ce qui concerne l'énergie vitale, je peux la masquer avec ma magie" J'ai appris ce sortilège il y a assez longtemps, alors il me faudra un peu de temps pour m'en souvenir entièrement, mais ça devrait aller."

Sêpsis et Farmer ne dirent rien, et se séparèrent pour réfléchir dans leurs coins.

La venue du chevalier cabossé les fit se rassembler.

Chevalier cabossé : "Ce n'est pas le moment de se crier dessus, nous avons mieux à faire, et garder ses forces en fait parti. Préparez vous à suivre le plan comme je l'ai ordonné, et tout se passera bien.

Sêpsis : - Je n'ai pas d'ordre à recevoir de vous, encore moins qu'un couards qui peut se prétendre chevalier seulement grâce aux mérite qu'il a eu d'avoir été adoubé par je ne sais quel roi en manque d'écuyers.

Cette remarque frustra le chevalier, qui dégaina son glaive qui étincela sous les lumières des torches.
Le silence se fit comme par magie dans la grande salle, et l'attraction était maintenant portée sur eux.

Sentant que cela allait dégénérer, il rangea la lame dans son fourreau, puis se retourna. Alors qu'il commençait à partir, il tourna légèrement la tête et dit tout juste assez fort pour que Sêpsis l'entende :

-"La prochaine fois, mastodonte sans cervelle, essai de sauver un peu nos soldats plutôt que de se lancer bras ouverts vers une sale catin tout juste assez bonne pour nous trahir."

Une haine sans pareil l'envahit, si bien que Sêpsis ne contrôla pas son geste, et le chevalier se retrouva plusieurs mètres plus loin sur sol, geignant, le visage en sang, ses mains couvrant son nez brisé. Des élèvements de voix se firent entendre dans la pièce à la vue de cette scène qui était bien loin de réconforter le moral des troupes, des civils comme des soldats !

Le vagabond se mit à toute vitesse devant le grand guerrier pour l'empêcher de continuer.

Farmer donna une petite tape sur le dos de Sêpsis, se dirigea vers le corps remuant, et se baissa à son niveau.

Farmer : "Où étiez vous dans la bataille pour avoir une lame si brillante et belle ?" Et ben dites donc, aucune trace de sang, aucune saleté...toute neuve...Vous savez, nous ne sômmes pas bête, et nous ne savons pas où vous vous trouviez pendant le combat, mais certainement pas le glaive à la main prêt à défendre des vies".

Il tourna la tête vers Sêpsis qui parlait, l'air énervé, au vagabond qui tentait de le calmer.
Il se retourna vers le chevalier et reprit.

Farmer : "Rien que cette nuit, il a sauvé la vie de plus de soldat que vous dans toute votre carrière, et surement même votre vie. Alors ce "mastodonte sans cervelle" comme vous dites, a infiniment plus de matière grise que vous, et bien plus de courage et de bravoure. Maintenant, ne vous avisez plus de lui ou de nous parlez comme ça, et relevez vous."

Le chevalier ne disais toujours rien, sa gorge nouée par la douleur et l'énervement. Farmer se releva et s'en alla. Ce fut au tour du vagabond de prendre le relais, et il partit rencontrer le chef d'armée, déboussolé.
Farmer parla au grand guerrier. La masse de gens qui s'était rassemblée se dispersa, et se préparèrent à l'ancien ordre donné.

A la vue du vagabond s'approchant.

Chevalier : "Vous allez vous aussi me dire que je ne vaux pas mieux qu'un civil ? Pfff, vous ne valez pas mieux que les..."

Il ne termina pas sa phrase, car il lui semblait ne plus voir clair : la silhouette de l'être en face de lui s'émoustillait, et se tordait, comme s'il s'agissait d'une illusion. Il sentit un souffle chaud dans son cou, et compris qui était dans son dos. Il n'osa pas bouger.

Le vagabond : "votre rétine ne sait pas s'habituer à cette vitesse de déplacement. Mais ce n'est pas pour vous montrer mes capacités de déplacement furtifs et rapides que je suis venu vous voir"

-"Pour quoi alors ?"

-"Pour vous donner un conseil : ne vous avisez plus jamais de parler de la jeune femme devant lui, je ne serais pas toujours là pour l'empêcher de vous étriper. Et même si je le pouvais, je ne le ferais plus. Vous voila avertis"

Le souffle chaud disparu d'un coup, et il aperçu le vagabond face à ses deux camarades.

Une perle de sueur glissait sur la joue du chevalier, qui n'osait plus penser à rien, qui n'osait plus dire quoi que ce soit. Son nez avait cessé de laisser filer l'hémoglobine, mais il avait triplé de volume. Un médecin s'empressa de le rejoindre et de l'examiner.

La masse de Sêpsis s'approchant de lui lui fit perdre espoir, et il eut un hoquet de peur quand ce dernier s'arrêta devant lui, l'air grave.

Sêpsis : "j'accepte de suivre le plan. Pas pour vous, loin de là. Juste pour préserver l'espoir qu'il reste dans le coeur de chacun de ces combattants".

Il montra les gens occupés dans leurs affaires du doigt.

Il s'éloigna de lui, et repensa à ce que pouvait bien faire Lylyth...

Lylyth tentait toujours de tuer son double mauvais, mais elle n'y arrivait pas. Soudainement Lilith lui donna un coup qui lui fit perdre sa dague de la main, et son adversaire en profita pour filer dans le monde des vivants. •

Lilith : - Quel garce ! Je ferait mieux de faire plus attention...

Lilith se releva péniblement, la chute avait été haute mais pas mortelle. Elle déploya ses ailes et alla rejoindre les autres Anges-noir.
Elle voulut parler avec celui qui lui semblait être le comandant, mais avant même d'ouvrir la bouche il lui donna un coup en pleine figure.

Le comandant : - Ne dérange pas le négociations femme !

Lilith : - Il faut faire vite... si vous ne trouver pas un plan rapidemant, eux vont en trouver un avant vous !

Le comandant, assena d'autres coup à Lilith, jusqu'à lui faire cracher du sang. Il approcha son visage du sien.

Le comandant : - Je t'ai dit de te la fermer... est-ce clair ?

Lilith ne dit rien. L'ange-noir la tenait par les cheveux et la lâcha, elle tomba au sol et devint inconsciente. Aucun autre Anges-noirs ne lui prêta attention, et personne n'avait protester redoutant le même châtiment.

• Lylyth fulminait de colère. La destruction se propageait partout dans l'étrange monde. Elle n'avait pas réussit à la tuer. Puis comme elle se calmait un peut desepérant presque, elle remarqua que son corps qu'elle ne contrôlait plus n'était plus en action. Lylyth se concentra donc, pour invoquer, l'autre âme...
Cela lui prit quelque temps avant que Lilith aparaisse, quand son corps apparut elle se réveilla lentement.

- Te revoila... hum tu semble faible ! Au moins cette fois je ne te louperais pas !

Lilith n'eu pas le temps de faire quoi que se soit, de plus elle ne pouvait plus bouger. La vrai Lylyth brandit une dague et l'enfonça dans le coeur de son double, tout devint noir, et un rugissement, tel celui des flammes se fit enttendre.
Dans le monde des vivants le corps de Lylyth fut entourer de flammes noires, avant de dissparaître.
Une explosion... puis ensuite rien. A la place de Lylyth dans le monde des vivants, une dague l'avait remplacer, une dague pleine de suie et de tâches gluantes appartenant aux ténèbres.

Peut à peut dans le château les autres mettaient en place le plan. Bien que Sêpsis était récalcitrant à l'idée, Vlad qui s'occupait à lui mettre des fausses flêches sur le torse, en travers de son t-shirt comme si il avait réelement été toucher, lui expliquait avec verve que le plan allait réussir et qu'ils retrouveront Lylyth.

Vlad : - ne te fait pas autant de soucis ! Nous retrouveront Lylyth tel qu'elle était avant et nous irons boir un coup après avoir gagner se combat...

Sêpsis : - Si tu le dit... mais je te l'ai dit, elle à changer d'alignement... je sais pas si...

Vlad : - Pas de 'mais' ! Nous feront tout pour qu'elle soit comme avant... je suis sur que ce n'était qu'un stratégie... si ela se trouve elle à voulus tromper les anges-noir la haut pour que leurs plans rate et... Hey ! Ne gigotte pas autant !

Sêpsis n'avait plus envie d'écouter, il était persuader qu'il était arriver un malheur à Lylyth. Son coeur lui serrait, mais il devait se conscentrer sur l'instant présent.
Vlad lui tapotta l'épaule, puis il alla aider quelqu'un d'autre pour les déguisement. Sêpsis resta seul, l'angoisse le submergeait, mais il serra fort les poings et se dit fortement en lui que Lylyth n'était pas morte...

Revenons aux anges-noirs, les trois en retrait qui discutaient, puis quand ils eurent fini ils se séparèrent pour ordonner a différents groupes les instructions.
Bientôt... ils passeront à l'attaque ! Farmer qui était monter sur un balcon pour les observer, alla retrouver Vlad et Sêpsis.

Farmer : - Ils vont sûrement bientôt passé à l'attaque... là ils ne font que divulguer les instructions. Sûrement sur la façon de nous éliminer...

Vlad : - Je pense que tu à raison, je connais peut d'anges-noirs qui laisserait la vie sauve à ses ennemis. Sêpsis... N'y pense plus le temps de combatre... ce sera dure vieux, ont doit tenter le tout pour le tout !

Farmer : - Ouaip ! Le grand final, ça va saignez...

Farmer partit dans un coin après avoir fixer deux fausse fléches sur lui.
Sêpsis alla derrière une collone et s'y adossa, comme s'il était mort, bien sur, en faite sous les ordres du chevalier tout le monde fit semblant.
Vlad qui avait dit qu'il pouvait masquer un temps l'énergie vitale de tout un groupe, se mit au milieux et se concentra. Après qu'il ai articuler quelques paroles une onde blanche se propagea partout et devint invisible. Vlad se baissa pour s'allonger au sol et tout le monde attendit...
Tout d'un coup des anges-noirs entrèrent en brisant les vitres, puis peut à peut il eu une horde d'anges-noirs qui volaient au plafond.

[Retour de Lylyth dans une autre quête mwhuahahahah èwé]