Burning Soul
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Burning Soul

Dans un univers post-apocalyptique, deux factions se combattent : l'une pour sa survie, l'autre pour sa destruction...vers quel camps vous guidera votre coeur ?...
 
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 Yrmir, représentant d'un peuple vaincu et disparu, Trophet puis héros d'un royaume déchus

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Yrmir
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Yrmir


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MessageSujet: Yrmir, représentant d'un peuple vaincu et disparu, Trophet puis héros d'un royaume déchus   Yrmir, représentant d'un peuple vaincu et disparu, Trophet puis héros d'un royaume déchus Icon_minitimeMar 15 Avr - 2:25

Nom : Inexistant
Prénom : Yrmir.
Surnom : La herse, L’infranchissable.
Lieu de naissance : Hyariagh (en langue Troll), à l’est de l’ancien royaume d’Orlengue.

En Hyariagh avait été bâtit l’un des rare « village »Troll, une communauté composé d’une centaine de Trolls à peau claire, très paisible comparé à leur congénère plus sombre.
La région était fortement boisé et réputé pour sa diversité et sa forte concentration de gibier, ces conditions permettaient aux Trolls de vivrent en parfaite autarcie et ne gênaient aucunement les humains vivant dans les régions avoisinantes, personne n’ignoré la présence de ce village et personne n’en était inquiété. Ces Trolls avaient compris l’importance d’être respectueux envers les territoires humains, et ils ne s’aventuraient jamais hors de leurs terres.

Le royaume voisin était sous le règne D’Orlengue Le Jeune, il ordonna l’exécution de son oncle qui assurait la régence et détérioré le nom et l’image de la famille royale, il accéda donc au trône à l’age de 15ans, ce qui lui fallu son nom de Le Jeune. Il entreprit alors de redorer le blason de son royaume en agrandissant ses territoires, il commença par le Sud en éradiquant les bandits et maraudeurs qui s’y étaient installés, son assurance accrus par ces quelques victoires pendant les batailles, il fit agrandir son armée et s’attaqua aux plaines boisées de l’Est.
L’armée avancée et quand les éclaireurs rapportèrent la position du village Troll, il vint à Orlengue l’idée de faire une démonstration de sa puissance, part l’esprit. Détruire seulement le village aurait été aisé, l’armée composée d’un bon millier d’homme en serait venue à bout avec des pertes conséquentes mais il aurait s’agit d’une victoire facile tout de même. Soumettre ce peuple n’aurait pas était apprécié, car le royaume était contre l’esclavage et l’annexer aurait été inutile pour la cause recherchait par Orlengue, la meilleur chose à faire était de créer une preuve de victoire, sur le long terme. Il ordonna l’éradication du village, et offrait à chaque soldat ramenant un nouveau né Troll, une place dans sa garde personnel avec tout ce que cela pouvait comporter comme avantage.

Hyariagh fut complètement rasé et seul 8 jeunes Trolls furent ramenés.

Orlengue offrit aux plus nobles familles du royaume le soin d’éduquer les Trolls, avec comme missions d’en faire de belle victoire de l’intelligence sur la brutalité.
Yrmir fut l’un d’entre eux.

Les années s’écoulèrent et les conquêtes d’Orlengue avait fait de son royaume l’un des plus puissant.
Loin des champs de batailles grandissaient les Trolls, éduquaient par des humains, ils ignoraient tout de leurs véritables origines, survivants d’une terrible maladie qui avait éradiqué leur espèce, telle était l’explication qu’on leur avait enseignée. Ce mensonge n’était possible que de part le fait qu’aucun d’eux ne sortaient des villas, palais et habitations de leurs nobles hôtes.
Yrmir alors âgé de 16ans, avait comme percepteur le responsable de la bibliothèque du royaume, elle rassemblée plus de 4 000ans de connaissance, certain affirmés que des œuvres datant d’avant l’époque de l’affrontement entre Guinj'Ka et Diut'Xat y était enfermé quelque part mais personne n’avait véritablement cherché a retrouver ces artefacts de l’époque maudite.
Les connaissances d’Yrmir étaient assez importantes pour qu’il soit considéré comme un jeune érudit prometteur et le seul regret qu’avait son percepteur était qu’il ne pouvait sortir et découvrir de part ses yeux le monde, qu’il n’avait découvert jusqu’ici qu’au travers de livres et traités. Nombreuses furent les fois où l’enseignant alla demander la permission de faire sortir Yrmir, pour l’emmener hors des murs, à chaqu'une de ses demandes, le noble tuteur comprenaient mais refusait, il affirmé que seul le roi autoriserait cette demande, il fallait donc attendre son retour.
Yrmir ne souffrait pas de cet enfermement, il aimer apprendre, cela lui était autorisé et cela lui suffisait.
Il ignorait toute fois que certaines œuvres lui étaient interdites, celles mentionnant la disparition de son espèce et celles répertoriant les maladies et infections à travers le monde.

Orlengue avait acquis alors un territoire incroyablement important et les difficultés pour gérer les conflits et problèmes intérieurs ne lui étaient d’aucune importance, ces ministres et nobles devaient s’en charger et la corruption était la seule véritable loi dans les territoires conquit.

Lorsque la première défaite arriva, un repli fut organisé et des renforts furent commandés.

Yrmir, représentant d'un peuple vaincu et disparu, Trophet puis héros d'un royaume déchus Parliamenthawksmouth1mo8.th

La cité qui avait été attaqué était la partit émergeante d’un royaume souterrain et celui-ci avait vite compris la menace que représentait les désirs de conquêtes et de territoires d’Orlengue.

Lorsque tous comprirent qu’aucun renfort ne viendrait, la cité ordonna une contre attaque sur les positions retranchées, qui construites avec l’idée quelle ne seraient que provisoires était peu adaptés à la défense.
_____________________________________________________________________

Les mois ont passés et les nouvelles alarmantes arrivées de toute part.

La mort d’Orlengue au front et de ses meilleurs hommes, avait créé un soulèvement de toute les provinces conquises les années précédentes, seul quelques mois suffire pour la cité Dujilla pour libérer ses voisins de l’oppressions des barrons et maîtres des terres conquissent par Orlengue, tous corrompues par le pouvoir.
Les Dujillans étaient reconnues pour apparaître là où on ne les attendaient pas, creuser des galeries était chez eux aussi bien un art martial qu’une question de survie économique.


Dans la derniére forteresse d'Orlengue, toute la population en mesure de combattre avait été intégrés dans des milices, composaient d’une dizaine de personnes, chaqu'une postées aux carrefours de chaques rues. Toutes pouvaient voir au moins un autre groupe à quelques mètres ou centaines de mètres ;
Toutes ne manquaient pas de s’observaient, craignant un mouvement de panique des autres, dù à une apparition de l’ennemi.

Bientôt quatre jours que les réfugiés des villes voisines étaient arrivés dans la forteresse, annonçant l’arrivait imminente des Dujillans.
La forteresse d’Allamha était forteresse d’origine de la famille d’Orlengue et maintenant, la dernière sous les ordres des hommes d’Orlengue, fidèles jusqu’à leurs morts, telle était leur dévouement pour l’homme qui leurs avaient fait connaître gloire et richesse.

Quatre jours que les guetteurs dans les tours des forets environnantes n’annonçaient aucun mouvement, si ce n’est ceux d’animaux fuyant la région.

Quatre jours qu’ Yrmir et tout le peuple d’Allamha attendaient l’arrivé des premiers combats.

Quatre jours qu’il n’avait pas retiré son armure de plaques et de mailles, monté en vitesse dans l’une des armureries de la ville, bondées par toute la population.

_ « Avé koi t’veu t’batt’ mon grand. » Demanda le vieil homme édenté chargé d’équiper les autres, puisqu’il était trop vieux pour se battre.
_ « Pour ma carrure le mieux serait sûrement une masse avec une longue hampe.»
_ « … ouk’ tu veu’ k’j’trouve un machin pareil maintenant ? »
_ « Une bonne arme lourde, vous devez avoir au moins ça ? »
_ « Des armes, y en a encore quelques une ici, mé’ si j’t’en file une, c’est pas dit qu’elle te dure longtemps, parc’ ke tu va attirer les costauds avec ta taille ! »
_ « ... Je vois… »
_ « T’as des bras. Et vu la quantité d’métal k’ils t’on coincé sur le dos et s’kon di sur l'endurance d’ton espèce, tu devré’ pas mourir d’une flèche, ça c’est shur ! »
_ « Donc, vous ne pouvez rien pour moi ? »
_ « M’en veux pas gamin, mé y a bien des centaines d'personnes plus gradé k’toi qui sont passé avant, t’imagines ke les meilleurs armes sont parties, tu m’comprend ? »

Et après quatre jours d’attente, l’ennemi se montra enfin…

Le soleil n’était plus très haut dans le ciel, mais loin de se coucher, pas un nuage, la journée était agréable, pas trop chaude grâce au petit vent d’Est qui soufflait depuis quelques heures.
Soudain un grand bruit.
Une explosion, suivit d’un bruit d’effondrement.
Tout les hommes à l’intérieur de la cour Nord, à l’ombre des arbres, attrapèrent leurs armes et se redressèrent et un brouhaha s’en suivit, tous parlaient, inquiets, anxieux, la voix du commandant maîtrisa celle des autres, par sa sonorité, et tout le monde se tuent.
Yrmir était avec eux, ayant était refusé pour garder la biblothéque, estimé comme pouvant étre :"Un futur pilier de la derniére défense."

_ « Hé là haut, qu’est ce que vous voyez ? » Hurla le commandant en direction de la tour au centre de la cour.
Un très jeune supérieur, dirigeant le groupe d’archers campés la haut, répondit.
_ « Y a un truc qui a du se casser la gueule à l’Ouest, y a un gros nuage de poussière, sinon on n’y voit que dalle, désolé vieux. »

L’explosion était celle du mur Ouest, tout un pan en était tombé; dans la tour de l’ouest (aussi au centre de la cour), on n’avait vu personne s’approchait pour déposer des explosifs, s’agissait-il de magie, d’un coup de canon, personne n’aurait pu le dire à l’intérieur des murs (même effondré).
Quand la poussière se dissipa, tous les hommes à l’intérieur de la cour de l’Ouest purent observer que le mur s’était effondré vers l’extérieur, n’occasionnant aucun blessé ni par l’explosion ni par la chute du mur.

_ « Oh, hé! T’as intérêt à mieux causer à un supérieur, c’est pas parce qu’on va tous crever aujourd’hui qui faut m’manquer respect, p’tit con ! »
_ « Va te faire mettre... vieux con ! »
_ « Ahhh ! Si je te croise en bas, j’te préviens tu va manger d’ma lame ! » Pointant son épée vers la tour.
_ « Tu crois que tu m'fais peur, espéce de...

Une seconde explosion retentit, accompagné de cris et de hurlements.

_ « Cette fois, c’était plus douloureux » marmonna un soldat au côté d’Yrmir.


Cette seconde explosion, eu lieu à nouveau dans la partie Ouest, parmi les soldats,la déflagration avait soulevé le sol et tué prés de 80 personnes et en blessa tout autant.
Les Dujillans avait creusé des galeries comme à leurs habitudes et placé leurs explosifs.

Les soldats restant se rapprochèrent des portes menant à l’intérieur de la cité, pour protéger celles-ci. L’ennemis avait montré ça faculté a frapper où et comme il le voulait, provoquant l’inquiétude parmi les Allamhans de la cour Ouest.

La tour Ouest maintenant complètement exposée était désormais en proies à la panique, les archers habituellement en dernière ligne et protégés souhaitaient tous descendre au plus vite pour sauver leurs vies, leur supérieur n’ayant aucun contres arguments abandonna l’idée d’ordonner de rester. Tous sortir en courrant, provoquant l’étonnement des hommes maintenant poussiéreux adossé au mur, les commandants hurlèrent, mais rien n’y fit, les archers rejoignirent leurs camarades sur la terre ferme (… ferme ou presque au vu des précédentes explosions).
Un petit temps se passa avant que des mouvements à la lisière de la foret face aux décombres et aux hommes, se firent observer.
_ « Archers, armés !!! »
Ceux-ci s’exécutèrent, tendant les cordes de leurs arcs respectifs.
_ « Et comment on fait maintenant pour voir les signaux des tours de guet si y a plus personnes en hauteur pour les voir ? » grommela l’un des commandants observant la tour complètement vide.
Des cris rauques de guerre sortirent de la lisière ainsi que de grandes silhouettes, des flèches fusèrent sur celles-ci, tirées par de jeunes archers peu aguerris.
_ « Non, ne tirez pas !!! »
Les buissons s’écartèrent, libérant de nombreux guerriers protégés par leurs boucliers.
_ « Chargez, chargez maintenant !!!! »
Tous les hommes agglutinés le long du mur et des portes coururent, formant une marrée de fers et de chaires, tous hurlaient leurs armes pointées vers l’ennemi, les flèches volaient. Et les hommes en première ligne percutèrent les Dujillans.

_ « Héé, l’vieux con, ça chauffe à l’Ouest !! »
_ « Crétin, on l’entend tous… Grommela le commandant.»
Un soldat tout proche demanda :
_ « On reste là ? Inquiet.
_ « Les explosions, elles ont servi de diversion… Ils ont un plan. » Puis plus fort. « On ne bouge surtout pas d’ici, pas de mouvements, pas de panique !»

_ « Le pire, c’est qu’on sait pas d’où ils arriveront… commença le soldat proche d’Yrmir. »
_ « C’est pas le plus important… coupa Yrmir. L’important, c’est de savoir comment ils vont finir. Et il se frappa le point dans le creux de son autre main, en souriant.
Surpris, le soldat :
_ « … C’est l’odeur du sang qui te rend comme ça ? T’étais calme jusque là… »
_ « … » Le sourire d’Yrmir s’effaça, il se rendit compte que c’était la première fois qu’il se sentait comme ça, la première fois qu’il allait se battre.
_ « Hé, eh !!!! P’tain les mecs, ça bouge par ici !! » Le supérieur des archers avait le bras et le doigt pointés en direction de l’extérieur, derrière le mur Ouest.

_ « Et bien préparez vous là haut !! Hurla le commandant.
Du sommet de la tour Nord, on pouvait observer la petite route, au milieu de la foret, traversée par moment par de grandes ombres, parfois, elles s’arrêtaient et observaient la porte.
_ « Le prochain est pour moi les gars.» Commença le sergent archer, avant de décocher sa flèche sur celui attendu.
Touché au torse, le guerrier lâcha son épée et à l’instant même ou il s’affala au sol, une centaine d’autres sortirent et coururent le long de la route vers la porte ; des petits groupes équipés de troncs devancé le gros de l’assaut.
_ « Allez allez les mecs, ont vide son carquois !!! » Il se pencha en direction du commandant.
« Ils nous foncent dessus et ils en veulent à not’e porte !! »
_ « Merde, tous prêt au combat !! » Hurla le commandant.
_ « On aura pas eu droit au feu d’artifice ? » Avec un léger sourire.
_ « On en ferra un, ne t’inquiètes pas. »Répondit Yrmir.
Le soldat tira son épée de son fourreau.
_ « Aller ma vieille, va falloir en découdre. »
_ « … A qui tu parles comme ça ? » Demanda Yrmir, les yeux écarquillés.
_ « Je parle aux objets quand je suis flippé, excuse moi.» Répondit le soldat avec un sourire forçait.

Quand les Dujillans atteignirent la porte avec leurs béliers de fortune, ils n’étaient plus que les 3/4 de leur force, les archers Allamhans étaient bien entraînés. Les portes s’ouvrirent et les 250 soldats Allamhans hurlèrent ensembles. Le combat fut très rapide et les Dujillans fuirent rapidement et brièvement, achevés par les flèches des archers.
_ « K’es’ cé K’ cé gugusse ? »
_ « Bon, vous refermez gentiment la porte et n’oubliez pas de rentrer leurs joués …Pointant les béliers. Et touchez pas à leurs cadavres, j’ai pas confiance… ils ont de drôle de couleurs… »
Les portes fermées, les béliers rentrés, le commandant commença à les examiner.
_ « Mouai, pas des spécialistes de l’offensive, ils sont pourris leurs béliers.
_ « Ils auraient du prendre d’autre arbres pour les confectionner, cela n’auraient même pas entamés la porte. »
_ « …Ouai peut être… » Le soldat regardait Yrmir, qui observait de loin les béliers.

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